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19 novembre 2021 5 19 /11 /novembre /2021 10:02
LE SECOURS CATHOLIQUE A BESOIN DE VOUS...

Ce week-end des 20 et 21 novembre, c'est le départ de la campagne de fin d'année du Secours Catholique, et à toutes les messes il sera lu un texte de l'association, expliquant le travail qui se fait dans toutes les équipes locales au profit des plus démunis de notre société....Les quêtes de ce week-end sont intégralement reversées au Secours Catholique, alors pensez à avoir sur vous de quoi donner une participation assez importante, suivant vos moyens évidemment...Merci par avance

À la fin des célébration, vous pourrez prendre les enveloppes destinées à faire un don à l'association, que vous pourrez remettre lors des messes suivantes...

L'équipe locale de Marmande vous remercie par avance de votre générosité, elle vous signale aussi qu'il y aura toujours la vente de bougies,de marque-pages, d'un petit recueil des "ressentis" des équipes ou des bénévoles pendant cette crise sanitaire . Vous les trouverez aussi pendant les fêtes dans les galeries marchandes de certaines des grandes surfaces locales.

Vous pourrez prendre connaissance du message qui sera lu à tous les offices, en cliquant sur le lien ci-dessous

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7 novembre 2021 7 07 /11 /novembre /2021 16:55
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021

Une magnifique célébration avec le Père Joseph, célébrant du jour, et l'équipe de funérailles de la paroisse, une assemblée assez importante (mais qu'on pouvait attendre plus importante encore...). Les membres des équipes de funérailles de la paroisse ont assuré l'essentiel de la célébration,  depuis le mot d'accueil jusqu'à la prière d'action de grâce...

Il y au eu de très beaux chants, et un grand moment d'émotion avec la lecture des noms de tous les défunts de 2020 et 2021 (en 2020 pas de célébration à cause de la COVID19), par chaque  responsable des  funérailles, qui, après sa lecture, allait allumer un cierge devant l'autel, représentant tous les défunts qu'il a accompagnés.

Le Père Joseph a remercié chaleureusement les équipes de funérailles et toutes celles et ceux qui ont participé à cette célébration, nous n'oublierons pas les relais d'église de Beaupuy pour la décoration....

Les équipes de funérailles n'ont pas oublié de faire appel aux bonnes volontés. pour renforcer leurs effectifs, il faut penser à la relève....

Patrick

MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021
MESSE DU SOUVENIR POUR LES DÉFUNTS DE LA PAROISSE NDCEP- ANNÉES 2020 ET 2021

 

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29 octobre 2021 5 29 /10 /octobre /2021 15:41
HORAIRES DES MESSES MOIS DE NOVEMBRE 2021

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18 octobre 2021 1 18 /10 /octobre /2021 10:11

 

Ce samedi 16 octobre 2021, il y a du monde en l’église de BIRAC, à tel point qu’un habitant du village m’a demandé de qui c’était l’enterrement, je lui ai répondu que c’était seulement  le jour où Mgr HERBRETEAU, entouré des Pères Richard et Joseph, et du diacre Philippe, originaire du village, venait procéder à l’envoi en mission des délégués pastoraux qui vont accompagner le Père Richard dans sa mission de curé modérateur, formant avec lui l’équipe E A P de la paroisse (équipe animation pastorale).

Les délégués ont été désignés par les paroissiens qui les ont choisis lors d’un scrutin organisé par la paroisse, il s’agit de :

Alain BEGUE pour la communauté des coteaux, succédant à Pierre COMBRET délégué sortant

· Vincent LEGALL pour la communauté du centre

· Sophie RODRIGUEZ   et  Catherine ARNAUD pour la communauté de la plaine

Notre évêque a reçu leur engagement pour une durée de 3 ans, et ils ont signé cet engagement à la fin de la célébration...Mgr HERBRETEAU a bien rappelé dans son homélie le rôle des délégués pastoraux et a surtout rappelé que ce n’est pas une fonction honorifique mais au contraire une fonction de service de la paroisse à accomplir avec humilité. Comme c’est aussi le lancement du synode sur la synodalité, il a remis à Catherine ARNAUD les documents qui serviront aux équipes de nos clochers pour exprimer leurs aspirations et leurs idées pour l’église de demain...Le Père Richard a d’ailleurs exprimer le souhait que dans chaque clocher il y ait une équipe de réflexion sur ce sujet.

Nous avons eu une très belle célébration, avec une forte présence des enfants du catéchisme que  l’évêque a d’ailleurs souligné, et une bonne participation , ils ont bien chanté avec la chorale accompagnée à l’orgue par Josiane .

Merci à toutes celles et ceux qui ont participé à la réussite de cette célébration, un merci tout particulier aux enfants qui ont assuré le service d’autel, la procession des offrandes, la quête, à leurs catéchistes, et aux relais d’église pour le nettoyage et la décoration florale…

Bon vent à nos délégués pastoraux, que Dieu les accompagne dans leur mission !

Patrick

 

 

 

Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
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Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
Envoi en mission de nos délégués pastoraux  par Mgr HERBRETEAU
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16 octobre 2021 6 16 /10 /octobre /2021 15:45

Ce dimanche 17 octobre, ce sera le début de la semaine des missions, qui se terminera le dimanche 24 .

Nous pourrons avoir une pensée particulière pour tous les prêtres africains qui se dévouent dans nos paroisses en abandonnant pays et famille...

Vous trouverez ci-dessous le message du Saint Père pour cette journée mondiale des missions...

MESSAGE DU SAINT-PÈRE FRANÇOIS  POUR LA JOURNÉE MONDIALE DES MISSIONS 2021

« Il nous est impossible de nous taire  sur ce que nous avons vu et entendu » (Ac 4, 20)

 Chers frères et sœurs,

Quand nous expérimentons la force de l’amour de Dieu, quand nous reconnaissons sa présence de Père dans notre vie personnelle et communautaire, il nous est impossible de ne pas annoncer et partager ce que nous avons vu et entendu. La relation de Jésus avec ses disciples, son humanité qui se révèle à nous dans le mystère de l’incarnation, dans son Évangile et dans sa Pâque nous font voir jusqu’à quel point Dieu aime notre humanité et fait siennes nos joies et nos souffrances, nos désirs et nos angoisses (cf. Conc. œcum. Vat. II,  Const.past. Gaudium et spes, n. 22). Tout dans le Christ nous rappelle que le monde dans lequel nous vivons et son besoin de rédemption ne lui sont pas étrangers et nous invite également à nous sentir partie active de cette mission : « Allez donc aux croisées des chemins : tous ceux que vous trouverez, invitez-les » (Mt 22, 9) ; personne n’est étranger, personne ne peut se sentir étranger ou éloigné de cet amour de compassion.

L’expérience des apôtres

L’histoire de l’évangélisation commence par une recherche passionnée du Seigneur qui appelle et veut engager avec chaque personne, là où elle se trouve, un dialogue d’amitié (cf. Jn 15, 12-17). Les Apôtres sont les premiers à nous rapporter cela, se rappelant même le jour et l’heure où ils le rencontrèrent : « C’était vers quatre heures de l’après-midi » (Jn 1, 39). L’amitié avec le Seigneur, le voir guérir les malades, manger avec les pécheurs, nourrir les affamés, s’approcher des exclus, toucher les personnes impures, s’identifier aux nécessiteux, inviter aux béatitudes, enseigner d’une manière nouvelle et pleine d’autorité, laisse une empreinte indélébile capable de susciter l’étonnement et une joie expansive et gratuite qui ne peut être contenue. Comme le disait le prophète Jérémie, cette expérience est le feu ardent de sa présence active dans notre cœur qui nous pousse à la mission, même si elle comporte parfois des sacrifices et des incompréhensions (cf. 20, 7-9). L’amour est toujours en mouvement et nous met en mouvement pour partager l’annonce la plus belle, source d’espérance :             « Nous avons trouvé le Messie » (Jn 1, 41).

Avec Jésus, nous avons vu, entendu et senti que les choses peuvent être différentes. Il a inauguré, déjà aujourd’hui, les temps à venir en nous rappelant une caractéristique essentielle de notre nature humaine, si souvent oubliée : « nous avons été faits pour la plénitude qui n’est atteinte que dans l’amour » (cf. Lettre enc. Fratelli tutti, n. 68). Des temps nouveaux qui suscitent une foi capable de promouvoir des initiatives et de forger des communautés à partir d’hommes et de femmes qui apprennent à prendre en charge leur propre fragilité et celle des autres, en promouvant la fraternité et l’amitié sociale (cf. ibid., n. 67). La communauté ecclésiale montre sa beauté chaque fois qu’elle rappelle avec gratitude que le Seigneur nous a aimé le premier (cf.1Jn 4,19). Cette « prédilection aimante du Seigneur nous surprend et l'émerveillement, de par sa nature, ne peut pas être possédé ou imposé par nous. […] Ce n'est que de cette manière que le miracle de la gratuité, du don gratuit de soi-même, peut s’accomplir. Même la ferveur missionnaire ne peut jamais être obtenue à la suite d'un raisonnement ou d'un calcul. Le fait de se mettre “en état de mission” est un reflet de la gratitude » (Message aux Œuvres Pontificales Missionnaires, 21 mai 2020).

Cependant, les temps n’ont pas toujours été faciles ; les premiers chrétiens ont commencé leur vie de foi dans un environnement hostile et difficile. Des histoires de marginalisation et de captivité s’entremêlaient avec des résistances internes et externes qui paraissaient contredire et même nier ce qu’ils avaient vu et entendu ; mais cela, loin d’être une difficulté ou un obstacle qui les aurait portés à se replier ou à se renfermer sur eux-mêmes, les a poussés à transformer tout désagrément, contrariété et difficulté en opportunité pour la mission. Les limites et les obstacles devinrent eux aussi un lieu privilégié pour oindre toute chose et chacun avec l’Esprit du Seigneur. Rien ni personne ne pouvait rester étranger à l’annonce libératrice.

Nous avons le témoignage vivant de tout cela dans les Actes des Apôtres, livre que les disciples missionnaires tiennent toujours à portée de main. C’est le livre qui raconte comment le parfum de l’Évangile s’est répandu sur son passage, suscitant la joie que seul l’Esprit peut nous offrir. Le livre des Actes des Apôtres nous enseigne à vivre les épreuves en nous attachant au Christ, afin de mûrir la « conviction que Dieu peut agir en toutes circonstances, même au milieu des échecs apparents » et la certitude que « celui qui se donne et s’en remet à Dieu par amour sera certainement fécond » (Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 279).

Ainsi, pour nous aussi : le moment actuel de notre histoire n’est pas facile non plus. La pandémie a mis en évidence et amplifié la douleur, la solitude, la pauvreté et les injustices dont tant de personnes souffraient déjà, et a démasqué nos fausses sécurités et les divisions et polarisations qui nous déchirent silencieusement. Les plus fragiles et les plus vulnérables ont expérimenté encore plus leur vulnérabilité et leur fragilité. Nous avons vécu le découragement, le désenchantement, la fatigue ; et même l’amertume conformiste qui ôte l’espérance a pu s’emparer de nos regards. Mais nous, « ce que nous proclamons, ce n’est pas nous-mêmes ; c’est ceci : Jésus Christ est le Seigneur ; et nous sommes vos serviteurs, à cause de Jésus » (cf. 2 Co 4, 5). C’est pourquoi nous entendons résonner dans nos communautés et dans nos familles la Parole de vie qui retentit dans nos cœurs et nous dit : « Il n’est pas ici, il est ressuscité » (Lc 24, 6) ; Parole d’espérance qui rompt tout déterminisme et, à ceux qui se laissent toucher, donne la liberté et l’audace nécessaires pour se tenir debout et chercher de façon créative toutes les manières possibles de vivre la compassion, ce “sacramental” de la proximité de Dieu avec nous qui n’abandonne personne au bord du chemin. En ce temps de pandémie, face à la tentation de masquer et de justifier l’indifférence et l’apathie au nom d’une saine distanciation sociale, la mission de la compassion, capable de faire de la distance nécessaire un lieu de rencontre, de soin et de promotion, est urgente. « Ce que nous avons vu et entendu » (Ac 4, 20), la miséricorde avec laquelle nous avons été traités, se transforme en un point de référence et de crédibilité qui nous permet de retrouver la passion partagée pour créer « une communauté d’appartenance et de solidarité à laquelle nous consacrerons du temps, des efforts et des biens » (Lettre enc. Fratelli tutti, n. 36). C’est sa Parole qui nous rachète quotidiennement et nous sauve des excuses qui nous conduisent à nous enfermer dans le plus vil des scepticismes : “peu importe, rien ne changera”. Et face à la question : “pourquoi vais-je me priver de mes sécurités, de mon confort et de mes plaisirs si je ne peux voir aucun résultat important ?” ; la réponse reste toujours la même : « Jésus Christ a vaincu le péché et la mort et il est plein de puissance. Jésus Christ vit vraiment » (Exhort. ap. Evangelii gaudium, n. 275) et il nous veut aussi vivants, fraternels et capables d’accueillir et de partager cette espérance. Dans le contexte actuel, il y a un besoin urgent de missionnaires d’espérance qui, oints par le Seigneur, soient capables de rappeler prophétiquement que personne ne se sauve tout seul.

Comme les Apôtres et les premiers chrétiens, nous disons nous aussi de toutes nos forces : « Il nous est impossible de nous taire sur ce que nous avons vu et entendu » (Ac 4, 20). Tout ce que nous avons reçu, tout ce que le Seigneur nous a accordé au fur et à mesure, il nous l’a donné pour que nous le mettions en jeu et le donnions gratuitement aux autres. Comme les Apôtres qui ont vu, entendu et touché le salut de Jésus (cf. 1 Jn 1, 1-4), ainsi nous pouvons aujourd’hui toucher la chair souffrante et joyeuse du Christ dans l’histoire de chaque jour et nous encourager à partager avec tous un destin d’espérance, cette caractéristique indubitable qui naît du fait de nous savoir accompagnés par le Seigneur. Comme chrétiens nous ne pouvons pas garder le Seigneur pour nous-mêmes : la mission évangélisatrice de l’Église exprime sa valeur complète et publique dans la transformation du monde et dans la sauvegarde de la création.

Une invitation à chacun de nous

Le thème de la Journée Mondiale des Missions de cette année, « Il nous est impossible de nous taire sur ce que nous avons vu et entendu » (Ac 4, 20), est une invitation à chacun d’entre nous à "assumer cette charge" et à faire connaître ce que nous avons dans le cœur. Cette mission est et a toujours été l’identité de l’Église : « Elle existe pour évangéliser » (S. Paul VI, Exhort. ap. Evangelii nuntiandi, n. 14). Notre vie de foi s’affaiblit, perd prophétie et capacité d’émerveillement et de gratitude dans l’isolement personnel ou en s’enfermant en petits groupes. Par sa propre dynamique, elle exige une ouverture croissante capable d’atteindre et d’embrasser tout le monde. Les premiers chrétiens, loin de céder à la tentation de s’enfermer dans une élite, ont été attirés par le Seigneur et par la vie nouvelle qu’il offrait pour aller parmi les nations et témoigner de ce qu’ils avaient vu et entendu : le Règne de Dieu est tout proche. Ils l’ont fait avec la générosité, la gratitude et la noblesse de ceux qui sèment en sachant que d’autres mangeront le fruit de leur engagement et de leur sacrifice. C’est pourquoi j’aime penser que « même les plus fragiles, les plus limités et les plus blessés peuvent être [missionnaires] à leur manière, parce qu’il faut toujours laisser le bien se communiquer, même s’il coexiste avec de nombreuses fragilités » (Exhort. ap. postsin. Chritus vivit, n. 239).

En la Journée Mondiale des Missions, qui se célèbre chaque année le dernier dimanche d’octobre, nous nous souvenons avec reconnaissance de toutes les personnes dont le témoignage de vie nous aide à renouveler notre engagement baptismal à être des apôtres généreux et joyeux de l’Évangile. Nous nous souvenons en particulier de ceux qui ont été capables de se mettre en chemin, de quitter leur terre et leur famille pour que l’Évangile puisse atteindre sans délai et sans crainte les peuples et les villes les plus éloignés où tant de vies sont assoiffées de bénédiction.

Contempler leur témoignage missionnaire nous encourage à être courageux et à prier avec insistance le « maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson » (Lc 10, 2). En effet nous sommes conscients que la vocation à la mission n’est pas quelque chose du passé ou un souvenir romantique d’autrefois. Aujourd’hui, Jésus a besoin de cœurs capables de vivre leur vocation comme une véritable histoire d’amour, qui les fasse sortir aux périphéries du monde et devenir des messagers et des instruments de compassion. Et c’est un appel qu’il adresse à tous, même si ce n’est pas de la même manière. Rappelons-nous qu’il y a des périphéries qui sont proches de nous, au centre d’une ville, ou dans sa propre famille. Il y a aussi un aspect d’ouverture universelle de l’amour qui n’est pas géographique mais existentiel. Toujours, mais spécialement en ces temps de pandémie, il est important de développer la capacité quotidienne d’élargir notre cercle, d’atteindre ceux qui spontanément nous ne sentirions pas comme faisant partie de "nos centres d’intérêts", même s’ils sont proches de nous. (cf. Lettre enc. Fratelli tutti, n. 97). Vivre la mission, c’est s’aventurer à développer les sentiments mêmes du Christ Jésus et croire avec lui que celui qui est à mes côtés est aussi mon frère et ma sœur. Que son amour de compassion réveille aussi notre cœur et nous rende tous disciples missionnaires.

Que Marie, la première disciple missionnaire,s fasse croître chez tous les baptisés le désir d’être sel et lumière sur nos terres (cf. Mt 5, 13-14).

Saint Jean de Latran, 6 janvier 2021, Solennité de l’Épiphanie du Seigneur.

 

François

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15 octobre 2021 5 15 /10 /octobre /2021 10:22

Le synode sur la synodalité venat d'être lancé, il m'a semblé intéressant de vous partager l'article que le site ALETEIA a consacré à ce sujet....

(MAVRITSINA IRINA | Shutterstock)

(MAVRITSINA IRINA | Shutterstock)

Le pape François a inauguré solennellement, dimanche 10 octobre, le synode sur la synodalité. Un événement inédit par de nombreux aspects.

Inauguré par le pape François ce dimanche, le synode sur la synodalité est un processus inédit de deux ans censé redonner la parole au Peuple de Dieu. Tous les diocèses du monde sont appelés à participer. Décryptage des grands enjeux d’un synode “nouvelle génération” qui s’inscrit dans la grande réforme de François initiée en 2013 pour décentraliser la gouvernance de l’Église catholique.

1-POURQUOI LE SYNODE SUR LA SYNODALITÉ EST-IL INÉDIT DANS SA FORME?  

La phase locale doit durer six mois, mobiliser tous les diocèses et toutes les paroisses (jusqu’en mars 2022) et aboutir à la rédaction d’une synthèse de dix pages. Elles seront ensuite envoyées aux conférences épiscopales nationales qui en feront une synthèse globale. Envoyés à Rome, ces documents serviront ensuite de base, dès septembre 2022,  à de nouvelles discussions au niveau continental. Elles aboutiront à l’élaboration de nouvelles synthèses qui nourriront enfin la phase synodale finale à Rome en octobre 2023. 

Ce vaste processus a été bien accueilli par la plupart des évêques. Il vient cependant s’ajouter selon eux à un calendrier serré déjà occupé en 2021 par deux célébrations romaines : l’année saint Joseph et l’année Amoris Laetitia. Mgr François Kalist, archevêque de Clermont-Ferrand, a par exemple regretté une « disparité entre l’ambition et les moyens », considérant que le court délai entre l’annonce du synode et son lancement, tout comme les seuls six mois de phase synodale à l’échelon diocésain laissaient « à peine le temps » de lancer le processus.
 
 
2-le synode sur la synodalitÉ est-il L'ABOUTISSEMENT
DE LA RÉFORME DU PAPE FRANÇOIS?
 
« Le chemin de la synodalité est justement celui que Dieu attend de l’Église du troisième millénaire ». Ces mots, le pape François les a prononcés en 2015 à Rome à l’occasion du 50e anniversaire de l’institution du Synode des évêques. Quels sont les ennemis de cet aggiornamento demandé par le pontife ? L’esprit du « cléricalisme« , un maux qu’il ne cesse de dénoncer et qui consiste à surévaluer le pouvoir spirituel du pape, de l’évêque et du prêtre, mais aussi du fondateur ou du responsable d’une entité de l’Église. 
Mais le pape François en a aussi contre la « rigidité », qui refuse tout changement par principe, alors que selon lui l’Église est humaine et donc constitutivement appelée à être en mouvement – retrouvant en cela la définition du mot synode, « marcher ensemble ». « Il a été élu pour cela », confiait récemment Mgr Joseph Ha, évêque auxiliaire de Hong Kong. Le prélat chinois se souvenait d’ailleurs que le pontife argentin avait inauguré son pontificat en créant un conseil des cardinaux chargés de l’entourer, un « signal fort ».  
 
    "Seule la présence de l’Esprit saint fait la différence."
 

Le Pape, qui n’a jamais caché son scepticisme vis-à-vis de l’esprit centralisateur de la Curie romaine, a souvent cherché, par ses nominations, ses déclarations ou par son style de gouvernance, à déconcentrer le pouvoir de l’administration romaine. Il a déjà lancé trois synodes depuis 2013 – sur la Famille, la Jeunesse, puis sur l’Amazonie. Mais à l’issue du dernier, il a regretté les polémiques qui ont voulu transformer la question synodale en un combat politique.

Comme il le déclarait dans son discours de Noël à la Curie en 2020, l’Église « est un corps toujours en crise justement parce qu’il est vivant, mais elle ne doit jamais devenir un corps en conflit avec des vainqueurs et des vaincus ». Entre les deux situations, martelait-il alors, « seule la présence de l’Esprit saint fait la différence ». Et le cardinal Mario Grech, secrétaire du Synode des évêques, n’a fait que répéter ces mots : si ce synode n’apprend pas à mieux discerner, c’est-à-dire à écouter la volonté de Dieu individuellement et collectivement, « il sera un échec ».

3-LE SYNODE PEUT-IL METTRE À MAL L'UNITÉ DE L'ÉGLISE?

C’est « toujours un défi d’aller dans les profondeurs spirituelles », déclarait récemment Mgr Heinrich Timmerevers, évêque de Dresde-Meißen. Le prélat allemand parle d’expérience : s’il est convaincu que la dimension synodale de l’Église est « cruciale » aujourd’hui, il sait aussi que dans son pays, le synode national lancé en 2019 n’a pas été un long fleuve tranquille. 

Cette crainte, son confrère suisse Mgr Jean-Marie Lovey, du diocèse de Sion la comprend. Mais il considère qu’elle est principalement fondée sur des présupposés qui court-circuitent la démarche en elle-même. Le synode n’est pas un parlement politique, insiste-t-il, mais une « marche ensemble », étymologie du terme. C’est en cela, assure le Valaisan, que le synode ne peut pas diviser mais au contraire « apporte une communion plus grande » à une communauté qui peine à se penser comme unie.

Les deux évêques rejoignent en cela le pape François qui distinguait dans son livre Un temps pour changer (2020) l’opposition fructueuse de la « contraposition » à la binarité stérile de la « polarisation ». Autrement dit, pour le Pape, le synode ne doit pas nier les désaccords, les charismes, les sensibilités au sein de l’Église mais au contraire les explorer en tant que différences pour se mettre en quête d’une plus grande cohésion.

Il disait voir par ailleurs dans le processus synodal un moyen de  « révéler les agendas et les idéologies cachés ». Plutôt que d’en avoir peur, il estimait que les pressions idéologiques sont « un bon signe ». Car partout où l’Esprit de Dieu est présent, « les tentations de le faire taire ou de le distraire sont aussi présentes ». Et d’ajouter : « Si l’Esprit n’était pas présent, ces forces ne s’en préoccuperaient pas. » Si la dynamique synodale veut renforcer l’unité au sein de l’Église, elle est également pensée pour renforcer les liens entre l’Église catholique et les autres confessions chrétiennes.

4-LE SYNODE PEUT-IL RÉPONDRE À LA CRISE DES ABUS DANS L'ÉGLISE?

« Les mots ne peuvent pas suffire, nous sommes tous appelés à nous engager résolument dans la lutte contre les abus comme nous y invite le Document préparatoire du synode ». Posté sur son compte Twitter le 5 octobre dernier, jour de la publication du rapport de la Ciase sur les abus sexuels dans l’Église en France, l’appel de la sous-secrétaire du Synode des évêques, sœur Nathalie Becquart, est un signe qui ne trompe pas. La crise des abus sexuels, parce qu’elle découle notamment d’une notion dévoyée de l’exercice l’autorité dans l’Église, sera au cœur des réflexions synodales – du moins dans les diocèses où les affaires sont sorties.

"Une meilleure articulation entre la dimension verticale et la dimension horizontale, c’est-à-dire entre la hiérarchie et la synodalité."

 

 Jean-Marc Sauvé, président de la Ciase, voit d’ailleurs dans ce synode qui s’ouvre une opportunité de réfléchir à la gouvernance de l’Église catholique. « Parmi les orientations qui nous semblent utiles et prioritaires, il y aurait la recherche d’une meilleure articulation entre la dimension verticale et la dimension horizontale, c’est-à-dire entre la hiérarchie et la synodalité », explique-t-il.

En clair : « Nous pensons que plus de délibérations protégeraient davantage l’Église catholique et lui permettraient de répondre de manière plus efficace et pertinente au problème des abus ».

Quatre jours avant la publication du rapport de la Ciase, Mgr Éric de Moulins Beaufort, président de la Conférence épiscopale de France, alors à Rome, confiait qu’il n’était pour l’heure pas envisagé de lancer en France un processus synodal national pour répondre à la question des abus – comme ce fut le cas de l’Église en Allemagne ou bien en Irlande. Il laissait pour autant entendre que le synode qui s’ouvrirait le 16 octobre dans tous les diocèses du monde serait l’occasion de « recueillir ce qui viendra » sur ces questions-là.

I.Media - Publié le 09/10/21 SITE ALETEIA)

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12 octobre 2021 2 12 /10 /octobre /2021 16:27

Avec un peu de retard pour lequel votre serviteur s'excuse (je me suis absenté fin septembre début octobre) !

HORAIRES DES MESSES COMMUN AUX 2 PAROISSES  POUR LE MOIS D'OCTOBRE
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6 octobre 2021 3 06 /10 /octobre /2021 15:54
Vous trouverez ci-après un diaporama que j'ai trouvé sur le site Aleteia,vous clicquez sur l'onglet pour faire défiler...
LES DOUZE MESSAGES DE JÉSUS TRANSMIS À SOEUR FAUSTINE AU SUJET DE LA MISÉRICORDE...
LES DOUZE MESSAGES DE JÉSUS TRANSMIS À SOEUR FAUSTINE AU SUJET DE LA MISÉRICORDE...
LES DOUZE MESSAGES DE JÉSUS TRANSMIS À SOEUR FAUSTINE AU SUJET DE LA MISÉRICORDE...
LES DOUZE MESSAGES DE JÉSUS TRANSMIS À SOEUR FAUSTINE AU SUJET DE LA MISÉRICORDE...
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20 septembre 2021 1 20 /09 /septembre /2021 15:50

Juste quelques photos de cette très belle église et de la célébration....

LA MESSE À HAUTESVIGNES DU 29 AOÛT 2021
LA MESSE À HAUTESVIGNES DU 29 AOÛT 2021
LA MESSE À HAUTESVIGNES DU 29 AOÛT 2021
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20 août 2021 5 20 /08 /août /2021 09:02

C'est une personne très attachante qui s'en est allée vers le Père...Elle était bien connue sur le secteur de Beyssac, en effet c'est elle qui assurait le fleurissement de l'église avec Céline, et qui mettait en place la crèche de Noël de façon progressive tout au long de la période de l'Avent.. C'est chez elle que l'équipe du journal paroissial se réunissait pour sa préparation , et tout se terminait dans la convivialité avec partage de pâtisseries, de fruits de saison et du verre de  l'amitié...

Elle était aussi connue dans le milieu des artistes du marmandais pour ses peintures d'une remarquable  qualité, mais elle ne faisait pas étalage de son talent...Personnellement j'ai toujours été frappé par son don de  transcrire "le regard" des personnages de ses portraits...

Mais qui pouvait parler d'elle mieux que ses filles ? Avec leur accord , je publie donc l'hommage qu'elles ont rédigé pour les obsèques de Nicole, hommage dans lequel elles ont bien retracé le parcours de leur maman et ses trait de caractère.

C'est Isabelle qui a lu cet hommage qu'elles ont rédigé avec sa sœur jumelle, Sœur Marie-Cécile.

Patrick

NICOLE COISSIEUX NOUS A QUITTÉS ...NICOLE COISSIEUX NOUS A QUITTÉS ...NICOLE COISSIEUX NOUS A QUITTÉS ...

" Maman, quelques mots ne suffiront pas pour dire ce que tu étais et combien tu nous as apporté. Tu es et tu resteras un modèle pour beaucoup de personnes qui ont eu la chance de te connaître.

Ton altruisme, ton intelligence, ton humour, ta bonne humeur et ton ouverture d’esprit resteront gravés dans nos mémoires.

Maman, tu t’es toujours dévouée à tes enfants, ta famille, tes proches et à ton travail aux Nouvelles Galeries.

A la retraite tu as enfin pu prendre du temps pour toi.

Dynamique et volontaire tu t’investissais au sein de la paroisse. Tu aimais confectionner des bouquets pour l’église de Beyssac avec Céline. Tu participais à la rédaction du journal paroissial. Toujours partante pour donner un coup de main à qui te le demandait.

Rien n’était trop pour toi.

Mais ta grande passion depuis toujours était la peinture. Curieuse et avide d’apprendre tu as suivi des cours, d’abord à l’huile  avec Bernadette Serbat, puis à l’aquarelle pendant plus de 23 ans avec Martine Jolit.

Artiste née, tu avais le sens artistique et le goût des belles choses, simples et sans prétention…à ton image Maman. 

Tu aimais aussi voyager. Jeune tu es restée un an au Maroc. Cela a été un coup de foudre pour toi, te forgeant un esprit ouvert plein de compassion.

Bien plus tard on a repris la route ensemble. J’en garderai des souvenirs inoubliables comme ce fameux soir, en 2007, où à Yangsho en Chine tu as voulu faire un tour de Mongolfière. Tu avais 73 ans et tu mordais la vie à pleine dent.

Malgré toutes les épreuves que la vie t’a faites traverser, tu as toujours gardé ton sourire, ta foi en la vie et en l’autre.

Tu as connu la guerre, ton père fut prisonnier et tu n’étais encore qu’une enfant !

D’autres épreuves t’ont marqué à jamais, la perte de ton mari, puis celle de ton fils chéri.

Tu as choisi de partir le même jour que lui, un 6 août pour mieux le retrouver,( jour de la St Laurent).

Tu étais forte Maman, tellement forte. Jamais tu ne te laissais aller. Tu gardais la tête haute en toutes circonstances, sans te plaindre malgré tes blessures au cœur.

Tu es et tu resteras pour nous un exemple. Merci Maman. On t’aime et on te garde en nous pour toujours. "                                                                                

 

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